Ligue 1 : Pourquoi Atal n’a plus la cote sur le marché des transferts ?
Contrairement aux précédents “Mercati”, l’international algérien Youcef Atal n’a pas été sollicité par les grandes équipes européennes.
📸 le match de Youcef Atal contre le Milan AC ! Crédit : Badil Photographie @YoucefAtaloff #TeamDZ #Atal pic.twitter.com/VM0ltwPXFj
— La Gazette du Fennec (@LGDFennec) August 1, 2021
Le pensionnaire de l’OGC Nice était, lors des deux dernières années, dans le collimateur de plusieurs clubs, notamment ceux évoluant en Premier League.
La donne a nettement changé dans ce mercato estival pour trois raisons que nous énumérons ci-dessous.
La malédiction des blessures
La dernière saison était particulièrement cauchemardesque pour l’international algérien. En effet, ce dernier a été victime d’un nombre incalculable de blessures musculaires, ce qui a emmené son temps de jeu à descendre sous la barre de 1150 minutes.
Pour rappel, Youcef Atal a contracté 10 blessures depuis son arrivée à l’OGC Nice en 2018 en provenance du Paradou Athletic Club.
Youcef Atal (DL, 9💰) nous a beaucoup déçu la saison dernière avec ses multiples blessures. Un joueur qui, à son meilleur niveau, est une pépite ultime sur MPG.
2/2 pic.twitter.com/XfkJuPLp1T— Josh MPG (@MPGJosh) August 3, 2021
Des performances moyennes
Youcef Atal n’a pas été particulièrement brillant avec l’OGC Nice lors de la dernière saison.
Aligné à 18 reprises en Ligue 1, le latéral droit volant s’est contenté de marquer un seul but, alors qu’il est supposé être une arme offensive importante pour son équipe.
La crise financière
La majorité des clubs dans les quatre coins du monde n’ont pas été épargnés par la crise financière, causée essentiellement par la pandémie COVID-19 qui continue de sévir dans le monde entier.
Cette situation financière difficile des clubs s’est répercutée automatiquement sur le marché des transferts qui n’est plus aussi actif, qu’il l’était en 2018 ou encore en 2019. Ainsi, la majorité des clubs a axé sa politique de recrutements sur les joueurs libres en fin de contrat.
Rappelons que l’OGC Nice a fixé, auparavant, le prix de vente de son latéral droit algérien à 70 millions d’euros.