3 Raisons.. Pourquoi la FAF n’a pas saisi le TAS dans l’affaire Algérie – Cameroun ?
La Fédération algérienne de football (FAF) a décidé de ne pas saisir le Tribunal arbitral du Sport (TAS) dans l’affaire du conflit avec le Cameroun, qui a éclaté à l’issue de la seconde manche des barrages qualificatifs à la prochaine édition de la Coupe du monde Qatar 2022.
« Foot Africa » a sélectionné pour vous 3 raisons qui expliquent pourquoi l’instance faitière du football algérien a décidé de faire marche arrière dans cette affaire.
Absence de preuves
La Fédération algérienne de football (FAF) n’a pas réussi à présenter des preuves tangibles qui confirment le recours du Cameroun à des méthodes illicites lors du match retour face à l’Algérie.
Par ailleurs, elle a été incapable de confirmer la corruption de l’arbitre gambien Bakary Gassama qui a officié cette empoignade mondialiste.
Une nouvelle page avec la FIFA
L’instance faitière du football algérien veut ouvrir une nouvelle page dans sa relation avec la Fédération internationale de football (FIFA).
En effet, un éventuel recours au Tribunal arbitral du Sport (TAS) serait mal perçu par l’organe chargé de gérer le football mondial.
Des chances nulles
Selon plusieurs experts, les chances pour que l’Algérie obtienne gain de cause dans cette affaire sont nulles.
Et pour cause, le TAS donne souvent la priorité au mérite sportif et, en aucun cas, il peut décider de faire rejouer un match pour des fautes d’arbitrage.