À quelques mois des élections de la Confédération africaines de football (CAF), le président actuel, le sud-africain Patrice Motsepe, s’apprête à frapper un gros coup en sanctionnant des membres influents de l’instance.
À cet égard, le secrétaire général, le congolais Véron Mosengo-Omba, se trouve dans le collimateur de la CAF pour avoir créé un « environnement stressant, contraire à l’éthique et non professionnel au sein de l’administration de la CAF ainsi que les cas répétés de langage inapproprié » selon le journal anglais « The Guardian ».
Coupable d’avoir saboté le travail du département de la gouvernance, des risques et de la conformité (GRC), le dirigeant congolais risque de payer les frais du dysfonctionnement dans l’instance faitière du football africain.
Fascinating to talk to @CAF_Online president Patrice Motsepe this week
Key points:
-football’s future at risk if players play too many games
-Saudi cash crucial for Caf
-Vital for Caf that investigation of @OmbaVeron is credible
-2027 Afcon will happenhttps://t.co/TJV8HKqvDe— Piers Edwards (@piers_e) September 20, 2024
Motsepe veut briguer un second mandat à la tête de la CAF
L’ancien président de Mamelodi Sundowns semble plus que jamais décidé à briguer un second mandat à la tête de la Confédération africaine de football (CAF).
Le milliardaire sud-africain a déjà commencé discrètement sa campagne électorale en prenant de nouvelles décisions, dont notamment celles se rapportant à la bonne gouvernance au sein de la CAF.
A vrai dire, le bilan de Patrice Motsepe à la tête de la CAF est très mitigé, lui qui a été incapable de mettre une programmation appropriée pour les différentes compétitions continentales, tout en ouvrant la porte devant l’ingérence de la FIFA dans les affaires du football africain.
