L’Algérie est en train de s’activer dans les coulisses pour devenir un membre influent au sein de la Confédération africaine de football (CAF).
Lassée par la mainmise marocaine sur l’instance faitière du football africain, le pays nord-africain a sorti la grosse artillerie, comme en atteste la récente réunion entre le président Abdelmadjid Tebboune et l’homme fort de la CAF Patrice Motsepe.
Il va sans dire que la déconvenue des « Fennecs » en qualifications pour le Mondial Qatar 2022 devant les « Lions Indomptables » a été l’élément déclencheur de cette nouvelle stratégie visant à avoir un mot à dire dans le football africain.
Et pour cause, l’Algérie estime avoir été lésée par un arbitrage hostile du gambien Bakary Gassama, devenu depuis l’ennemi juré de tout un peuple.
Les pressions algériennes ont fini par pousser la Confédération africaine de football (CAF) à faire une révolution dans le secteur d’arbitrage en limogeant plusieurs grands responsables, dont notamment Eddy Maillet, le président de la commission d’arbitrage.
Une belle revanche de l’Algérie contre celui qui a été tout fait pour couvrir l’arbitre gambien Bakary Gassama malgré ses innombrables agissements.
Cette guerre des coulisses entre l’Algérie et le Maroc devrait s’intensifier durant les prochaines semaines, avec comme principal objectif avoir une mainmise sur la Confédération africaine de football (CAF).
