L’arbitre botswanais Joshua Bondo continue de ternir l’image du football africain par ses prestations douteuses dans les différentes compétitions de la Confédération Africaine de football (CAF).
The corrupt Joshua Bondo hi give sundowns 3 point @CAF_Online pic.twitter.com/YkPl4BQKqR
— нαмαɒ (@Exo_404) February 12, 2022
Récemment, il a faussé le match entre les sud-africains de Sundowns et les soudanais d’Al-Hilal en Ligue des champions, après avoir annulé un but régulier pour l’équipe d’Omdourman, prétextant une charge inexistante sur le gardien ougandais Denis Onyango.
Auparavant, ce dernier a privé la Tunisie d’un penalty tout fait lors du match face au Burkina Faso, en quart de finale de la Coupe d’Afrique des Nations.
Les antécédents de l’arbitre botswanais sont innombrables. Toutefois, cela ne l’a pas empêché de continuer à officier les matchs des diverses compétitions CAF.
Onyango actually committed himself and no one touched him but you can’t blame Joshua Bondo that much.
There’s no VAR at this stage. #Sundowns #CAFCL #TotalEnergiesCAFCL #AlHilal pic.twitter.com/k124GLO4UH
— Micky Jnr ✪ (@MickyJnr__) February 11, 2022
De quoi se poser des questions sur les raisons qui ont empêché l’instance faitière du football africain de l’évincer définitivement de sa liste d’arbitres, surtout que ses agissements sont confirmés.
En dépit de la présence de l’Assistance vidéo à l’arbitrage (VAR), un nombre important d’arbitres africains continue de fausser les matchs au grand dam des puristes.
