La guerre contre Samuel Eto’o, le président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) bat son plein au Cameroun.
Depuis son intronisation à la tête de l’instance faitière du football camerounais, ce dernier est victime d’innommables coups bas visant essentiellement à le pousser vers la porte de sortie.
La récente condamnation de fraude fiscale par la justice espagnole a poussé ses détracteurs à saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS).
Cameroun-Fraude fiscale : le cas Samuel Eto’o en débat au Tas > https://t.co/J91Fqv5Xzz via @JDC_Fr
— S-C Poch (@dapoch) June 23, 2022
En effet, le Comité national olympique et sportif du Cameroun a déposé un recours auprès de l’institution indépendante basée à Lausanne qui participe à la résolution des litiges dans le domaine du sport afin d’annuler son mandat.
Cette plainte s’est basée sur l’article 36 des statuts de la FECAFOOT relatif à l’éligibilité et qui interdit toute personne condamnée à une peine privative de liberté assortie d’un sursis de se présenter pour un poste dans le comité exécutif.
Samuel Eto’o: De la condamnation au tribunal arbitrale du sport (TAS)https://t.co/KOSfSKPC67
— Camerfoot-infos (@camerfootinfos) June 23, 2022
Une nouvelle affaire qui risque de perturber encore l’homme fort du football camerounais, à quelques mois seulement de la phase finale de la Coupe du monde/Mondial Qatar 2022.
