« La RDC volée » … Les dessous de l’arbitrage calamiteux de Sadok Selmi!

Le football africain continue de manger son pain noir en raison notamment d’un arbitrage calamiteux pour ne pas dire corrompu qui continue de faire ses siennes.

On a eu une belle illustration de ce triste constat, mardi, à l’occasion du match qui opposé la Mauritanie à la République Démocratique du Congo (RDC), comptant pour la 4e journée des qualifications à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN Côte d’ivoire 2024).

En effet, l’arbitre tunisien Sadok Selmi a tout fait pour aider la Mauritanie lors de la confrontation devant la République Démocratique du Congo (RDC) en sifflant à sens unique, tout au long du match.

Un arbitrage calamiteux qui fait vraiment honte au football africain.

Sadok Selmi, un pion du lobby arabe dans la CAF !

En dépit de ses graves antécédents dans le football tunisien, Sadok Selmi est en train de connaitre une ascension spectaculaire dans le football africain sous l’impulsion du lobby arabe dans la Confédération africaine de football. 

Protégé par Wadie Jary, le président de la Fédération tunisienne de football, pour ses services rendus à son club de cœur l’Union sportive de Ben Guerdane, Sadok Selmi a été propulsé sur la scène africaine par son « mentor ».

Et comme Wadie Jary fait partie du lobby arabe de la CAF composé également du marocain Fouzi Lekjaa et du mauritanien Ahmed Ould Yahya, il a fini par proposer les services de son protégé Sadok Selmi à ses deux amis.

Ainsi, ce dernier est devenu l’arbitre préféré des marocains, comme en atteste sa désignation pour les matchs des différents représentants du football marocains dans les compétitions CAF.  

Et comme cadeau de remerciement, l’arbitre tunisien a eu l’honneur d’officier le match gala qui a opposé récemment le Brésil au Maroc. 

Puis c’était au tour du mauritanien Ahmed Ould Yahya, le 2ème Vice-président de la CAF, de profiter des services de Sadok Selmi, à l’occasion du match qui a opposé la Mauritanie à la République Démocratique du Congo (RDC).

Il est malheureux de constater que le football africain n’arrive pas à se débarrasser de ses vieux démons au grand dam des puristes.