TOP 15 : Les meilleurs attaquants de l'histoire du football
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Au commencement était le ballon. Et au bout du ballon, l’attaquant, le fer de lance, le numéro 9, ce joueur au rôle sacré : faire trembler les filets !
Si le football est un art collectif, la figure du buteur trône au sommet de la pyramide des émotions. Il est celui que l'on acclame quand le filet tremble, celui dont les exploits traversent les générations, celui que les enfants imitent dans les rues ou dans leurs rêves.
Mais tous les buteurs ne se valent pas. Certains sont de simples finisseurs. D’autres, rares, sont des icônes planétaires, des génies capables de transformer une action banale en légende éternelle. Ils ont marqué l’histoire du jeu par leur efficacité, leur style, leur aura.
C’est dans cet esprit qu’est née notre attaquant liste, un classement passionné dans lequel la rédaction de Foot Africa a sélectionné les quinze meilleurs attaquants de tous les temps, en tenant compte de leurs statistiques, leur impact dans l’histoire, leur héritage et ce supplément d’âme qui les rend inoubliables.
De la grâce féline à la force brute, du génie sud-américain aux éclairs venus d’Afrique, ces icônes intemporelles ont réinventé l’art de marquer. Voici les 15 meilleurs attaquants du monde:
15. Didier Drogba, la légende ivoirienne au destin européen
Didier Drogba est bien plus qu’un simple buteur : c’est un symbole. Icône de la Côte d’Ivoire, l’ancien capitaine des Eléphants a marqué l’histoire du football africain et gravé son nom à jamais dans la mémoire des supporters de Chelsea.
Arrivé tardivement sur la scène internationale, le double Ballon d’Or africain (2006 et 2009) a conquis les férus du ballon rond par une combinaison unique de puissance, de générosité et de charisme.
Leader naturel, guerrier des surfaces, Drogba s’est imposé comme l’attaquant de référence en Premier League, où ses duels aériens et son sens du but ont terrorisé les défenses adverses. Mais c’est en 2012, lors de la mythique finale de la Ligue des Champions face au Bayern Munich, qu’il entre définitivement dans la légende : égalisation rageuse, tir au but victorieux… Il personnifie la foi, le courage et la détermination.
Ambassadeur de son continent, modèle de réussite, Drogba a transcendé le football pour devenir un héros national, un mythe vivant dont le parcours inspire encore des générations de jeunes africains.

14. Thierry Henry, la classe à la française
Longiligne, gracieux et d'une efficacité redoutable, Thierry Henry symbolise à merveille l’attaquant moderne, capable de conjuguer style et efficacité.
Formé à Monaco et révélé sous Arsène Wenger, c’est à Arsenal que sa carrière explose véritablement. Sous le maillot des Gunners, il devient le meilleur buteur de l’histoire du club, porté par une vitesse supersonique, une maîtrise technique fluide et une finition chirurgicale.
Son influence culmine lors de la saison 2003-2004, lorsque les “Invincibles” marquent l’histoire en terminant la Premier League invaincus.
Mais Henry, ce n’est pas seulement des buts. C’est aussi une intelligence de jeu rare, une capacité à créer pour les autres, et une compréhension intuitive des espaces.
Son palmarès est à la hauteur de son talent : champion du monde en 1998, champion d’Europe en 2000, vainqueur de la Ligue des Champions avec Barcelone en 2009, sans oublier ses multiples titres nationaux.
Même s’il évoluait parfois excentré, son flair devant le but faisait de lui une menace constante. Sa silhouette féline, ses courses tranchantes et son sens du spectacle font de Thierry Henry une icône intemporelle du football européen et mondial.

13. Romário, le génie espiègle du football brésilien
Romário, c’est le football à l’état pur : spontané, instinctif, presque insolent. Doté d’un sens du but hors normes, ce petit attaquant brésilien de 1m69 a longtemps fait danser les défenseurs avec une aisance déconcertante.
Champion du monde en 1994, année où il est sacré meilleur joueur du tournoi, Romário est l’archétype du renard des surfaces, capable de surgissements éclairs, de dribbles courts et de frappes millimétrées.
Son jeu était à son image : imprévisible, désinvolte et génial. Malgré une carrière parfois chaotique, faite d'exils exotiques et de coups d’éclat imprévus, il a marqué plus de 1000 buts selon ses propres comptes – un exploit que peu contestent tant il semblait marqué par une destinée de buteur.
Romário ne courait pas après le ballon : il l’attendait, sûr que l’occasion viendrait, et il ne la manquait jamais. Sa nonchalance apparente masquait une lucidité implacable dans la zone de vérité. Il reste, encore aujourd’hui, une référence absolue pour les attaquants de poche.
Romário, c’est l’art de marquer sans forcer, un poète du but au sourire narquois.

12. Samuel Eto’o – Le lion indomptable devenu légende
Samuel Eto’o n’est pas seulement une légende du football africain, il en est l’ambassadeur le plus flamboyant. Quadruple Ballon d’Or Africain, triple vainqueur de la Ligue des Champions, double champion d’Afrique et meilleur buteur de l’histoire du Cameroun, l’attaquant formé à la Kadji Sports Academy a traversé les époques avec la même voracité.
Que ce soit au FC Barcelone, à l’Inter Milan ou en sélection, Eto’o a brillé par sa capacité à marquer dans les moments cruciaux. Alliant vitesse, intelligence tactique, finition implacable et rage de vaincre, il s’adaptait à tous les systèmes de jeu, changeait de poste sans jamais perdre en efficacité.
Sur le terrain, « le Grand 9 », comme on se plait à le surnommer au Cameroun, avait cette intensité féroce, ce regard déterminé et ce sens du but qui le rendaient redoutable.
Mais Eto’o, c’est aussi un leader, un homme de caractère qui a porté son continent à bout de bras. Il a brisé les barrières, inspiré des générations et élevé le football africain au sommet mondial. Dans les moments décisifs, c’était toujours lui. Un lion dans l’âme, une légende sur le terrain.

11. Ferenc Puskás, le Major galopant
Ferenc Puskás, surnommé le “Major galopant”, est sans aucun doute l’un des plus grands buteurs de tous les temps.
Star incontestée de la célèbre “Aranycsapat” - la légendaire équipe hongroise des années 50 - il éblouit le monde par ses frappes surpuissantes, sa vision du jeu et un sens du but quasi surnaturel.
Véritable idole nationale, Puskás mena la Hongrie à la finale de la Coupe du Monde 1954 et marqua les esprits en infligeant une lourde défaite à l’Angleterre à Wembley (6-3), un match devenu mythique.
Transféré plus tard au Real Madrid, il forma un duo d’exception avec Di Stéfano, contribuant à la domination madrilène sur l’Europe avec trois Coupes d’Europe.
Puskás, c’était la simplicité du geste, l’élégance dans l’exécution, et une constance impressionnante devant le but : plus de 700 réalisations à son actif !
En hommage à sa légende, la FIFA créa le prix Puskás, récompensant le plus beau but de l’année. Un hommage mérité à ce joueur hors norme, symbole d’un football romantique et flamboyant, dont le nom continue de résonner dans les cœurs des amoureux du jeu.

10. Eusébio, la panthère noire du Portugal
Figure mythique du football portugais, Eusébio est bien plus qu’un grand joueur : il est une légende vivante. Né au Mozambique, il incarne le premier grand ambassadeur africain sur la scène mondiale, bien qu’il ait brillé sous les couleurs du Portugal.
Star du Benfica Lisbonne, avec qui il remporta la Ligue des Champions en 1962, il s’imposa vite comme un buteur d’exception. Mais c’est lors de la Coupe du Monde 1966 qu’il marqua à jamais l’histoire, terminant meilleur buteur du tournoi avec 9 réalisations.
Sa vitesse fulgurante, sa frappe lourde comme un boulet de canon et sa technique fluide en faisaient un attaquant moderne avant l’heure.
Ballon d’Or en 1965, l’enfant de Maputo a incarné la domination de Benfica dans les années 60 et reste à ce jour le plus grand joueur portugais avant l’émergence de Cristiano Ronaldo.
Humble, généreux et respecté, Eusébio était aimé de tous, sur et en dehors du terrain. Surnommé la "Panthère noire", il reste un symbole d’élégance et de combativité, un modèle d’excellence et de dignité dans le sport.

9. Gerd Müller, le roi des canonniers !
Gerd Müller, alias “Der Bomber” (Le bombardier), n’était pas le plus athlétique ni le plus spectaculaire, mais son efficacité était tout simplement effrayante. Il possédait ce don rare de toujours se trouver au bon endroit, au bon moment, pour faire trembler les filets.
Avec l’impressionnant total de 68 buts en 62 sélections pour la RFA et plus de 700 buts en carrière, il reste l’un des plus prolifiques de l’histoire du football.
Son style n’était pas fait de dribbles élégants ou de gestes flamboyants, mais d’anticipation, de sang-froid et d’un instinct animal dans la surface. Vainqueur de l’Euro 1972 et de la Coupe du Monde 1974, il fut également la pierre angulaire du Bayern Munich qui remporta trois C1 consécutives dans les années 70.
Müller transformait chaque demi-occasion en but. A une époque où les défenses étaient rugueuses, il marquait avec une régularité déconcertante. Loin des projecteurs, il construisit sa légende dans la zone de vérité. Un tueur silencieux, un attaquant football d’élite dont l’héritage perdure.

8. Marco van Basten, le cygne du football européen
Marco van Basten incarne l’attaquant parfait : élégant, puissant, technique et d’une intelligence rare. Trois fois Ballon d’Or (1988, 1989, 1992), il a brillé de mille feux malgré une carrière écourtée par des blessures.
Son chef-d’œuvre reste cette volée acrobatique en finale de l’Euro 1988 contre l’URSS, un but d’anthologie devenu symbole de son génie.
Avec l’Ajax puis le grand Milan AC, il a accumulé titres et chefs-d’œuvre, s’imposant comme l’un des attaquants les plus gracieux de l’histoire. Son jeu aérien, sa finition chirurgicale, sa compréhension du tempo et son élégance naturelle en faisaient un régal pour les yeux.
Malheureusement, à 28 ans seulement, une cheville récalcitrante l’a forcé à ranger les crampons, laissant un goût d’inachevé à une carrière pourtant exceptionnelle.
Van Basten est une étoile filante : éphémère mais inoubliable. Dans chaque geste, il y avait de l’art. Il restera pour toujours ce joueur rare, à la fois esthète et tueur, dont le football chantait une poésie trop tôt interrompue.

7. Alfredo Di Stéfano, le génie qui a bâti le mythe du Real Madrid
Alfredo Di Stéfano, c’est bien plus qu’un joueur : c’est une légende fondatrice. A une époque que peu de fans d’aujourd’hui ont connue, il fut l’âme et le moteur du Real Madrid des années 1950, le stratège absolu d’une dynastie qui a marqué l’histoire du football.
Sous sa conduite, les Merengues ont remporté cinq Coupes d’Europe consécutives (1956 à 1960), un exploit que personne n’a égalé depuis. Ce Real Madrid-là, c’était son œuvre.
Polyvalent à l’extrême, Di Stéfano brillait dans toutes les zones du terrain. Avant-centre, relayeur, organisateur, récupérateur : il incarnait à lui seul une équipe complète. Son intelligence tactique hors du commun, sa vision de jeu et son engagement total en faisaient un leader naturel, capable d’élever le niveau de ses coéquipiers par sa seule présence. Il ne se contentait pas de marquer ou de faire marquer : il contrôlait le tempo, dictait le rythme, imposait sa loi.
A une époque sans ralentis ni vidéos virales, sa grandeur s’est transmise par la mémoire et les récits, comme un mythe transmis de génération en génération. Di Stéfano n’a pas seulement fait entrer le Real Madrid dans la légende - il en a écrit les premières pages, avec une plume faite d’or et de sueur.

6. Ronaldo Nazário, le phénomène brésilien
Rien que son surnom suffit : El Fenómeno. Ronaldo Luis Nazário de Lima n’était pas un simple buteur, mais une force de la nature, une anomalie génétique à la grâce déconcertante. Meilleur attaquant du monde à l’époque, il n’avait pas besoin de mille touches pour faire la différence : une accélération foudroyante, un crochet supersonique, et le gardien était déjà au sol.
Révélé très jeune au Brésil, il éblouit l’Europe avec le PSV Eindhoven, puis embrase le monde à Barcelone où il inscrit 47 buts en une seule saison (1996-1997). A l’Inter Milan, il devient un dieu, mais les dieux aussi peuvent chuter. Deux ruptures du tendon rotulien menacent sa carrière. Il revient pourtant, plus fort, plus chirurgical, pour mener le Brésil à un cinquième titre mondial en 2002, terminant meilleur buteur du tournoi.
Double Ballon d’Or (1997, 2002), Ronaldo a laissé sa marque dans tous les clubs qu’il a fréquentés, du Barça au Real Madrid, où il rejoint les Galácticos. Il aurait pu, sans ses blessures, tutoyer les sommets statistiques de Messi ou Cristiano.
Mais au fond, ce qui fascine chez R9, c’est ce qu’il incarne : la beauté brute du football, l’instinct animal et le sourire d’un enfant jouant dans la rue. En quelques secondes, il pouvait démolir une défense entière. Ronaldo, c’était un ouragan. Court, imprévisible, inarrêtable.
5. Johan Cruyff : le maître du "football total"
Johan Cruyff, c’est l’élégance des seventies, la silhouette gracieuse d’un stratège qui avait un temps d’avance sur tout le monde. Premier joueur à remporter trois Ballons d'Or (1971, 1973, 1974), il est le maître à penser du “football total”, un style où tous les joueurs sont en mouvement, en dialogue permanent, en quête de perfection collective.
Leader charismatique de l’Ajax Amsterdam, il guide le club à trois Ligues des Champions consécutives. Puis, au FC Barcelone, il devient un héros, un symbole d’espoir pour toute une région. Il redonne une âme au club catalan, d'abord comme joueur, puis comme entraîneur visionnaire, instaurant les fondations de ce qui deviendra plus tard le Barça de Messi.
Mais c’est surtout en sélection que son génie explose. A la Coupe du Monde 1974, il propulse les Pays-Bas en finale en incarnant un football d’avant-garde, fluide, offensif, presque futuriste. S’il n’a pas gagné le trophée suprême, il a gagné les cœurs.
Cruyff n’était pas seulement un joueur de foot attaquant, c’était un penseur du jeu. Il a semé des idées qui fleurissent encore aujourd’hui sur les terrains. Sa “feinte Cruyff”, son intelligence de déplacement, sa lecture du jeu sont enseignées partout.
Cruyff, c’est l’artiste-révolutionnaire du football. Une étoile filante dont la lumière continue d’éclairer le jeu moderne.

4. Pelé, le Roi aux mille buts et trois étoiles
Peut-on parler de football sans évoquer O Rei ? Pelé n’est pas seulement un nom, c’est une légende vivante (et aujourd’hui regrettée), un monument dont l’ombre plane encore sur chaque pelouse.
A 17 ans à peine, il remporte la Coupe du Monde 1958 avec le Brésil, marquant en finale et hypnotisant le monde entier. Il répétera l’exploit en 1962, puis en 1970, lors d’un Mondial mythique où l’équipe brésilienne atteint des sommets de beauté et de domination.
Pelé, c’est 1324 buts en carrière (officiels et amicaux inclus), un sens du but animal, une technique fine et un sens du collectif admirable. Il incarnait à la fois la puissance, la finesse et l’intelligence du jeu. Il pouvait marquer du gauche, du droit, de la tête, en dribble ou en une touche.
Son passage au Santos FC en a fait une légende locale, puis planétaire lors de tournées mondiales où il exportait le “futebol arte”. Il finira sa carrière aux New York Cosmos, contribuant à populariser le soccer aux États-Unis.
Mais plus que les chiffres, Pelé est l’icône du football originel, celui qui a ouvert la voie à tous les autres. Le premier véritable joueur global. Un roi, tout simplement.

3. Diego Maradona : une légende entre ombre et lumière
Diego Armando Maradona n’était pas un joueur comme les autres : il était un phénomène mystique, un concentré de passion et de folie, capable du pire comme du plus grandiose. L’histoire du football ne serait pas complète sans le gamin de Villa Fiorito, sans son pied gauche divin, sans sa rage de vaincre.
Son chef-d’œuvre, tout le monde le connaît : la Coupe du Monde 1986, remportée quasi à lui seul. Face à l’Angleterre, il inscrit deux buts légendaires : l’un irrégulier (la fameuse "Main de Dieu"), l’autre inégalé (le "but du siècle"). Une opposition de styles à son image : le rebelle et le magicien.
A Naples, il devient une légende urbaine. Il donne au club deux Scudetti historiques, une Coupe UEFA, et un amour éternel. Dans une ville pauvre et marginalisée, il devient une icône sociale, un demi-dieu.
Maradona, c’est la pureté du génie, mais aussi l’homme aux failles, au destin tragique. Il a vécu sa vie comme ses dribbles : à 100 à l’heure, dans le chaos, la magie et l’émotion.
El Pibe de Oro, c’est le football à l’état brut : imparfait, mais bouleversant.

2. Cristiano Ronaldo, l’athlète suprême du football moderne
Cristiano Ronaldo est une anomalie. Un homme dont le destin n’était pas de devenir une légende, mais qui a décidé de le devenir par la force de son travail, de son ambition et d’un mental à toute épreuve.
Formé au Sporting, révélé à Manchester United, il atteint l’apogée au Real Madrid, où il pulvérise tout sur son passage : 450 buts en 438 matchs, quatre Ligues des Champions, des Clasicos de légende. Il est aussi passé par la Juventus, où il brille encore, avant de continuer son parcours à Al-Nassr.
CR7, c’est le record incarné : meilleur buteur de l’histoire des sélections nationales, des compétitions européennes, des clubs... Tout simplement inhumain. Et à 40 printemps, il continue aujourd’hui de faire trembler les filets avec une rigueur exceptionnelle.
Mais Cristiano, c’est aussi un modèle : une discipline de fer, un corps sculpté comme une œuvre d’art, une volonté d’évoluer sans cesse. De dribbleur explosif à finisseur clinique, il a su se réinventer pour durer.
Il est la preuve que le succès est autant une affaire de talent que de travail. Cristiano Ronaldo est le colosse du football moderne, l’athlète total, le meilleur buteur de tous les temps (931 buts) !
1. Lionel Messi, la magie en toute simplicité
Il n’est pas grand, il n’est pas musclé, il ne parle pas beaucoup. Mais Lionel Messi est la symphonie ultime du football, un génie absolu dont chaque geste semble dicté par les dieux du jeu.
Formé à Barcelone, il y écrit une histoire d’amour légendaire : 672 buts, 35 trophées, une décennie de domination sur le football mondial. Il incarne le tiki-taka, le jeu en mouvement, l’intelligence collective et l’inspiration individuelle. En 2012, il inscrit l’incroyable total de 91 buts en une seule année civile. Record inégalé.
Mais c’est en 2022, avec l’Argentine, que le génie de Rosario touche enfin les cieux. Après des années de frustrations, il porte l’Albiceleste au titre mondial. Sa finale contre la France est d’une intensité dramatique rare, conclue par une séance de tirs au but qui scelle sa légende.
Huit Ballons d’Or, une Coupe du Monde, quatre Ligues des Champions… Mais plus encore que les titres, Messi incarne la beauté. Son jeu est une danse, son toucher un poème. Il joue pour créer, pour sublimer, pour émouvoir.
Il est, pour beaucoup, le plus grand de tous les temps. Et même ses détracteurs reconnaissent : Messi, c’est l’essence du football !

L’héritage est immense… mais la relève s’annonce brillante
Ces quinze monuments du football ont écrit l’histoire, chacun à leur manière. Ils ont fait vibrer des millions de fans, inspiré des générations entières, redéfini ce que signifie marquer. Leur empreinte est indélébile.
Mais l’avenir du football s’écrit déjà. Des jeunes prodiges comme Kylian Mbappé, avec sa vitesse supersonique et ses stats déjà stratosphériques, ou Erling Haaland, véritable machine à buts norvégienne, frappent à la porte du panthéon. D’autres noms comme Vinícius Junior, Lamine Yamal ou encore le nigérian Victor Osimhen émergent avec une audace prometteuse.

Le football change, évolue, mais le rôle de l’attaquant reste central. Et si le passé est glorieux, l’avenir s’annonce exaltant. Une nouvelle génération est prête à faire trembler les filets… et les cœurs.

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